Cadeaux de Noël : Sex and the City, l’homme idéal et les 4 points cardinaux féminins ?

C’est le très sérieux journal Le Monde qui fait l’article pour la série américaine « Sex and the City » Une série culte chez les femmes célibataires… en recherche permanente d’un (ou plusieurs) compagnons.

Le sujet a de quoi plaire. D’abord aux femmes qui s’identifient à ces aventurières du sexe et ensuite aux hommes qui se voient sollicités. Une fois n’est pas coutume. Nos héroïnes sont forcément peu glorieuses dans leurs recherches, c’est la loi des « séries ». Le teasing est permanent et il faut que cela dure plusieurs années…

Les hommes ont souvent le mauvais rôle.

Quatre femmes se répartissent la typologie féminine : Samantha ne pense qu’à « ça ». Charlotte, très « straight » au contraire, vit dans les rêves. Miranda pense à son plan de carrière. Carrie met tout cela en scène, puisqu’elle écrit justement sur ce monde Bobo de New York. Carrie est donc l’intellectuelle branchée.

L’humour est omniprésent. De l’humour comme on sait en faire dans la nouvelle Babylone. Mais ce faux reality show nous en dit beaucoup sur nous-mêmes et l’évolution de mentalités.

Les 30-40-50 et plus le regarderont donc comme les adolescents regardaient le Loft. Pour en tirer les nouvelles leçons de vie… et de drague. Ce n’est pas du Molière quand même, mais c’est bien foutu.

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-723789@51-628867,0.html

“Sex and the City” ou la recherche de l’homme idéal

Carrie Bradshaw (Sarah Jessica Parker) est une New-Yorkaise sexy, folle de chaussures, fumeuse dans une ville non fumeur. Elle tient, dans une publication new-yorkaise branchée, une chronique intitulée “Sex and the City”. Sa trentaine splendide voit arriver avec terreur une quarantaine sans port d’attache. Les hommes sont des porcs (Saison 1, troisième épisode : La Baie des cochons mariés), des coureurs, trop jeunes, déjà pris, ou homos. Avec trois copines (Charlotte, Miranda et Samantha) qui vont du très coincé (Charlotte) au très décoincé (Samantha), elle déjeune, dîne, soupe en ville – et tchatche, sans fin. Sujet : les hommes, l’amour, le sexe. Elles refont le monde mais appellent un chat un chat. Carrie, dans son appartement bobo en diable au coin de la 72e rue Est et Madison Avenue, tape ses articles qui tiennent plus du journal intime façon confessionnal que du conseil métrosexuel.